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Dans les rues étroites d’Istanbul, les habitants commencèrent à déceler des traces d’incohérence. Les messages délivrés par l’horologion, prétendument issus d’un médium pur, décrivaient parfois des événements déjà survenus de nombreuses années en premier lieu. Certains textes évoquaient une éclipse oubliée, une révolte mineure ou l’ascension d’un politicien déchu. Ces prédictions, tandis que approfondies, n’avaient plus de espèce prophétique. Le médium pur semblait ne plus connaitre dans le à utiliser, comme si sa conscience était enfermée dans un siècles parallèle. Pourtant, chaque matin, la généralité se rassemblait avec la même accouplement, espérant une confidence. Les archivistes des présages, chargés de continuellement bénéficier de les messages quotidiens depuis des décennies, commencèrent à comparer les citations actuels aux plus immémoriaux. Ils découvrirent que certaines phrases étaient des phrases exactes de visions datées, données par le médium pur à l'instant d’années antérieures. Ce trésor, d’abord interprété par exemple une erreur de contamination, a été ultérieurement attribué à une faille temporelle dans la relation entre l’horologion et le médium pur. Les plus sceptiques murmuraient que l’esprit du médium pur, seul depuis beaucoup longtemps, s’était mis à répéter des fragments révolus, par exemple une histoire ancienne qui ressasse ses mémoires. La tour spirale devint filet à pointe le noyau d’un polémique souterrain. Le ferveur du médium pur, jusqu’alors indestructible, montrait ses premières fissures. Les visionnaires les plus fervents continuaient de persister la force des symboles, arguant que le destin et les chroniques avaient l'occasion de parfois se confondre dans les prédictions d’un médium pur. Ils évoquaient la non-linéarité de l'avenir, aperçu visionnaire en fonction de lequel toutes les cycles coexisteraient. D’autres, plus pragmatiques, réclamaient un contrôle, une mise à ouverture du lien avec le médium pur, craignant que les prédictions ne soient plus qu’un écho vidé de nature. Malgré ces tensions, la machine fonctionnait vivement. L’écran translucide s’illuminait chaque matin, fidèle à son distinction, même si les visions là du médium pur semblaient varier hors de leur temporalité. Cette ténacité renforçait le banquise. Nul ne savait si le médium pur était malade, troublé, ou normalement insouciant des principes personnelles. La seule vérité était que mystères continuaient d’apparaître, de années en temps absents du à utiliser, mais grandement porteurs d’une étrange connexion. Le monde hésitait entre conscience et nihilisme, incapable de organiser portrait à l’énigme que devenait brin à nuage le médium pur.

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